Historique des réunions 2015


Mardi 15 décembre 2015 : La SAHR nous présente ses travaux en spectro…

Dans le cadre d’un échange CAW-SAHR, certains membres de la SAHR viendront nous présenter leurs travaux de spectroscopie, travaux qui servent à alimenter des bases de données professionnelles…

Mardi 1er décembre 2015 : Il était une fois l’astronomie

Depuis la nuit des temps l’homme regarde le ciel. On entend parfois aussi que « l’astronomie est la plus ancienne des sciences.»
S’il est vrai que les étoiles existaient déjà dans le ciel étoilé de Cro Magnon. Est-ce que ce dernier observait-il réellement les étoiles ?
En a-t-on des preuves ?

Mardi 17 novembre 2015 : Tableau périodique des éléments

L’évolution de la chimie au 19ième siècle montre à quel point la classification des éléments chimiques était devenue nécessaire. Mendeleïev a publié la sienne en 1869 à partir de 63 éléments… Après avoir fait un peu d’histoire nous parlerons assez brièvement de l’origine cosmique des éléments et l’on abordera la mélodie secrète du tableau à partir d’un peu de mécanique quantique et qui permet de repérer des périodicités dans les propriétés des éléments chimiques… 109 à ce jour …
Prière de se munir d’une classification périodique –> [ddownload id= »4387″]

Mardi 3 novembre 2015 : Astronomie : un changement d’échelle d’ici 2025.

Plato, Euclid, Gaïa, Messier, LSST, ELT, TMT, JWST, ALMA, SKA, Muse, LHC… Derrière ces noms et ces sigles dont la liste n’est pas exhaustive, se cachent des satellites, des télescopes, des radiotélescopes, des détecteurs et des expériences qui vont totalement changer notre vision de l’univers dans les 10 prochaines années. Nous allons aussi voir quels défis technologiques représente le développement de toutes ces expériences : nous entrons dans l’ère de la Big Science, de la Big Data et du calcul très intensif. Les exoplanètes, les astéroïdes, les transneptuniens, la matière noire, les tous noirs, la théorie de la supersymétrie après le Boson de Higgs : rien ne réchappe à cette nouvelle traque. Un seul risque pour cette soirée, en sortir avec une sorte d’ivresse, de vertige devant tant de progrès imminents annoncés.

Mardi 20 octobre 2015 : Bilan du camp astro de septembre 2015, par les participants.
Mardi 6 octobre 2015 : Les mains qui parlent.

Petit survol du monde des Sourds et en particulier leur langue en France, la LSF (Langue des signes française). Le survol sera rapide, de l’histoire de la langue jusqu’à quelques « mots » de vocabulaire. La durée de l’exposé devrait être assez courte (je ne suis pas expert en LSF) et dépendra surtout des échanges avec le public présent.

Mardi 22 septembre 2015 : Voyage autour de Saturn.

Dans le programme spatial lunaire américain, il y a un engin qui défie, même encore de nos jours, tous les superlatifs. C’est le lanceur Saturn V.
C’est à ce jour, la fusée la plus puissante et la plus imposante jamais construite par l’homme.
Nous verrons que sa conception n’était pas de tout repos et qu’il s’en fallut de peu pour que cette merveille d’ingéniérie ne voie jamais le jour.

Mardi 8 septembre 2015 : Le jeu de l’oie pour les membres actifs du CAW.

Ce soir, nous ferons le jeu de l’oie entre nous.
Francis nous a créé de nouvelles questions de niveau 4, ce qui nous permettra d’avoir du fil à retordre.
Cette soirée permettra aussi à ceux qui ne connaissent pas notre jeu de l’oie à thème astro de le découvrir afin de pouvoir ensuite éventuellement l’utiliser avec des jeunes…

Mardi 9 juin 2015 : Quand les extrémophiles inspirent l’exobiologie.

Dans les années 1970, les biologistes ont commencé à découvrir des organismes capables de vivre dans des conditions dites « extrêmes », alors que personne ne s’attendait à leur existence. Aujourd’hui, nous savons que de nombreux microorganismes sont capables de survivre à des températures supérieures à 100°C (thermophiles, hyperthermophiles) ou inférieures à 0°C (psychrophiles), sous de très hautes pressions (barophiles), dans des zones soumises à de forts taux de radiations (radiophiles) ou d’importantes sécheresses. Leur étude est extrêmement informative, particulièrement du point de vue de l’évolution, et surtout pour comprendre les débuts de la vie sur Terre. Dans cet exposé, nous partirons d’un constat très surprenant : la Terre n’a pas toujours été aussi accueillante. D’un point de vue anthropocentrique, on pourrait dire qu’à ses débuts, elle connaissait des conditions extrêmes. Si vous pouviez remonter le temps et l’observer, vous ne la reconnaîtriez pas et penseriez certainement qu’il s’agit d’un monde extraterrestre. Ces conditions ont énormément changé au cours des temps géologiques (température, composition de l’atmosphère, ensoleillement, etc). Chacune de ces périodes (et leurs archives géologiques) représente un véritable laboratoire d’étude de conditions planétaires fondamentalement singulières (par rapport à ce que nous connaissons aujourd’hui) et étrangères. Je vous montrerai à quel point le terme extrémophile est donc relatif. Que sont les extrémophiles ? Quelles étaient les conditions sur Terre lorsque les premiers organismes se développaient ? Comment la vie a-t-elle modifié la Terre ? Quel impact ces changements ont-ils eut sur les organismes vivants ? Quelles implications ces faits ont-ils pour la recherche de la vie dans l’univers ?
A l’heure où les astronomes découvrent de plus en plus de planètes en dehors du système solaire – les exoplanètes – et surtout au moment où ils réalisent que certaines lunes du système solaire (Europe, Encelade) abritent des océans sous-glaciaires, la possibilité d’existence de la vie dans ces milieux « extrêmes » renvoie presque irrémédiablement à l’exemple des extrémophiles et à l’histoire de la vie. Je vous montrerai finalement pour quelle raison les astronomes invoquent l’existence d’extrémophiles et pour quelles raisons, selon moi, cette vision est incomplète.

Mardi 27 mai 2015 : Albert EINSTEIN

Sa vie, son œuvre d’après un numéro spécial de la Revue « Science et Avenir».

Mardi 12 mai 2015 : Le changement climatique

Le phénomène du réchauffement climatique est aujourd’hui largement connu et constaté plus que jamais avec la fonte des glaces du Pôle Nord de la planète. Quelles sont les différentes causes qui influent celui-ci ? Quels sont les scénarios possibles pour un avenir proche que nous diagnostiquent certains experts ? L’exposé est préparé à partir du livre « Le défi climatique » objectif 2° de Jean Jouzel et Anne Debroise. Edition DUNOD. Jean Jouzel est Vice président du groupe scientifique du GIEC.

Mardi 28 avril 2015 : Les éclipses d’un saros. (Mini-exposé, avant le sujet principal de la soirée)

Une éclipse réussie comme celle du 20 mars dernier, ça « s’arrose »…. Alors je vais vous parler du « saros » !… En un lieu terrestre donné, sont visibles plus d’éclipses de Lune que de Soleil. Alors il semble légitime de croire qu’il y a plus d’éclipses de Lune que de Soleil. Pas du tout, ceci est faux à l’échelle de la Terre toute entière. Le saros qui dure 18 ans et 11,3 jours était déjà repéré 3 000 ans avant notre ère. C’est le cycle qui gère la répétition des séries d’éclipses. Au cours d’un saros, on compte 32 éclipses de Soleil vs 23 de Lune. En quelques 10 minutes, je vais rappeler la raison de ce phénomène a priori surprenant.

Mardi 28 avril 2015 : Le Canada

Visite de 5 états entre 2002 et 2010 lors de vacances ou de missions pour le travail.

Mardi 14 avril 2015 : Rétrospective des observations de la planète Mars, depuis Galilée jusqu’à nous.
Mardi 31 mars 2015 : Les rayons cosmiques

Nous en avions un peu parlé lors des deux présentations sur les Neutrinos. Nous expliquerons la nature exacte de ces rayons qui sont en fait des particules bien réelles, comment ils ont été découverts, combien ils ont été utiles dans la chasse aux briques élémentaires de la matière, comment ils sont classés, l’ énergie qu’ils contiennent et compte tenu des limites du LHC du CERN on en revient aux rayons cosmiques ultra Haute Energie venus de l’espace.

Mardi 17 mars 2015 : La science de la navigation

La science de la navigation a pour objet principal la détermination de la route, et celle de la position du navire à la surface des mers. C’est la détermination de la position que nous allons aborder ce soir. « Où est-on ? ».
Il s’agit d’utiliser les étoiles, un sextant, les Éphémérides Nautiques et une calculatrice collège pour faire le point et positionner le navire sur la carte. C’est le point aux étoiles.
Il existe plusieurs méthodes. La méthode de Marcq Saint-Hilaire (XIXe siècle) est aujourd’hui employée sur tous les navires par les marins du monde entier. C’est celle que nous allons développer ce soir. Les aviateurs américains de la Seconde Guerre Mondiale, pressés par le temps lors de la réalisation du point astro -en raison de la vitesse de leur appareil- ont mis au point des tables pour d’une part présélectionner les étoiles à observer, et d’autre part mécaniser les calculs.
Même si le GPS permet aujourd’hui des points plus précis et plus rapides, les observations astronomiques pour la navigation ne sont pas obsolètes puisque la réglementation internationale de veille en passerelle (STCW) impose d’effectuer la mesure de la variation du compas à chaque quart, et impose également d’effectuer le point à l’aide de plusieurs méthodes chaque fois que les circonstances le permettent.

Mardi 3 mars 2015 : Sous les cieux de La Réunion

Ce soir, cap vers l’hémisphère sud à la découverte du ciel austral et de ses joyaux.
Nous irons rendre visite à nos amis Astronomes amateurs de l’Ile de La Réunion qui ont établi leur observatoire au-dessus du village des Makes. Nous pointerons notre nez et nos instruments vers les Nuages de Magellan, la Croix du Sud, (son Sac à Charbon et sa Boîte à Bijoux), la constellation du Centaure et celle de la Carène …
Et puis nous reviendrons sur Terre, à la découverte de cette île volcanique, émergée de l’Océan il y a trois millions d’années (seulement !), île aux multiples visages : du lagon corallien aux eaux turquoises, aux forêts primaires à la végétation luxuriante et au Piton de la Fournaise, ce volcan en sommeil, réveillé brièvement en juin 2014 …
Belle soirée à tous !

Mardi 17 février 2015 : La quatrième dimension

La quatrième dimension est très facile à manipuler, beaucoup plus difficile à visualiser.
Elle est utilisée en astronomie dans différentes situations : l’espace temps, la courbure de l’espace en relativité générale (quoique …), la théorie des cordes (là on est en dimension 10 voire plus) et tout dernièrement le Big Bang.
On essayera de démêler tout ça en restant les pieds sur terre.

Mardi 3 février 2015 : La réunion est annulée

La réunion est remplacée par la conférence de Aurélien Barrau qui aura lieu à Mulhouse sur les univers multiples.
informations et détails ICI

Mardi 20 janvier 2015 : On a marché sur la Lune, ou l’aboutissement d’un rêve.

« C’est un petit pas pour un Homme, un bond de géant pour l’Humanité ». C’est en prononçant ces mots, que Neil Armstrong posa son pied gauche sur le sol lunaire le 21 juillet 1969. Plus d’un siècle après Jules Verne et 15 ans après Tintin, le rêve américain fixé par le Président Kennedy lors de son discours devant le congrès le 25 mai 1961 s’accomplit. Cette prouesse, tant technique qu’humaine, ne fut possible que grâce à la ténacité et au courage d’hommes d’exceptions, motivés certes par une course effrénée entre le bloc Est et Ouest due à la guerre froide. Nous allons revivre ici cette aventure excitante et passionnante de l’épopée du programme Apollo qui permit (contrairement à ce que prétendent certains) à l’Homme de fouler le sol de notre satellite.

Mardi 6 janvier 2015 : Objectif Lune, ou comment un rêve devint réalité.

« C’est une vérité fondamentale de notre nature que d’explorer ». Ainsi s’exprimait Dave Scott en mettant le pied sur la Lune lors de la mission Apollo XV.
Toute cette aventure commença il y a deux millénaires chez les chinois avec l’invention de la poudre, qui eurent l’idée de génie de l’appliquer pour la propulsion d’engins de guerre. Toute cette machinerie aboutira, grâce à des « apprentis sorciers » qui officiaient dans les années 1940-1950, à la réalisation de fusées gigantesques capables d’envoyer l’homme dans l’espace.
Comme le disait le visionnaire Konstantine Tsiolkovsky, « La Terre est le berceau de l’humanité, mais on ne reste pas éternellement dans son berceau ». Nous verrons ici comment les programmes spatiaux Mercury et Gemini, ont permis à l’Homme de sortir de son berceau.

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